Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (107)

Comme prévu le lendemain, nous quittons tous nos amis qui ont tenu à nous accompagner à l’aéroport !
Au revoir les vacances à l’année prochaine, car nul doute que tous ceux qui sont venus ou rencontrés cette année, seront partants je le pense l’an prochain.
Nous décollons et arrivons sans problème à Orly.
Nous venons de passer les contrôles quand le motard de l’organisation arrive devant nous, habillé de la tête au pied d’une combinaison rouge.

• Livia, tu es là comme je te l’ai demandé.
• Il faut bien que certaine travaille pendant que les autres s’amusent.

Dans le même temps, le motard enlève son casque et secoue une magnifique chevelure blonde comme la voix me le faisait pressentir, c’est une jolie femme qui est devant moi.

• Tu peux emmener Christine chez toi pour ce soir, j’ai un client qui m’attend. Je vous rejoindrai dès que j’en aurai fini avec lui.
Tu as bien pris ton deuxième casque.
• Oui, j’ai exécuté tes directives toujours précises.

Nous embrassons ma grande et rejoignons la moto aussi rouge que les habits de sa propriétaire garée devant l’aérogare.

• Es-tu déjà montée ?
• Je me suis fait monter par de nombreux hommes ou femmes, mais pas sur une moto, avec ma mini et mes talons cela va être difficile.
• Tu vas voir, tu vas adorer !
Elle fait 1000 cm³ c’est l’une des plus puissante que l’on trouve sur le marché. Enlève tes talons, tu vas monter pieds nus.
Moi aussi je me fais monter, mais par l’engin que je pilote entre mes cuisses.

Bravo, elle a de l’humour et a bien compris mon allusion à nous faire monter.

• Je vais essayer, je sens que je vais prendre mon pied.
• Mets ce casque et mets tes chaussures dans la boîte.
Les casques ont un système wi-fi, nous pourrons parler en roulant même à grande vitesse.

Elle prend ma valise et l’accroche avec des tendeurs sur le coffre à casque, elle passe une jambe par-dessus la moto et redresse l’engin et s’assoit.



• Mets ton pied sur le cale-pied, redresse-toi, passe ta jambe par-dessus et assied toi.

Heureusement que personne ne me vois car faisant la manœuvre ma jupe se soulève laissant voir mon cul et ma chatte libre de toute contrainte depuis ce matin.
Je suis debout sur les cale-pieds, je remets ma jupe en place et je m’assieds.

• J’y suis arrivé ou je me tiens.
• Passe tes bras autour de ma taille et surtout évite de te crisper, reste souple, suit les mouvements de la moto.
On est parti, prochain arrêt Paris !

Dès que nous roulons, à petite vitesse tout va bien. J’ai tendance à serrer fermement Livia qui semble aimer.
Nous sommes sur l’autoroute et elle tourne la poignée des gaz.
La moto prend de plus en plus de vitesse, dans une grande ligne droite, j’ai le temps de voir le flash d’un radar.
Comme elle me l’a dit, je suis les mouvements de ce monstre qui rugit entre mes jambes.
Ma chatte en contact direct avec le cuir commence à s’échauffer, je prends de plus en plus d’assurance, je relâche la pression d’un de mes bras pour remonter ma main. Je la ressers sur un sein que je sens bien malgré le cuir.
Livia lâche une main de son guidon et tire la fermeture de sa combinaison, je comprends ce que ce geste signifie, je glisse ma main à l’intérieur et empaume son sein qui déborde vu son volume plus impressionnant que ce semblait nous montrer la combinaison.
Je pince la pointe de son téton, malgré le bruit du moteur et du vent avec la vitesse, j’entends très nettement un petit râle qui doit être de plaisir grâce au micro du casque.
Du côté de mon corps, les sensations avancent à vitesse aussi rapide que la vitesse de l’engin, j’appuie plus fortement mon clitoris sur la selle qui s’enflamme et une jouissance embrase mes reins.

• As-tu bien joui ?
• Oui, et je vais repartir avant d’arriver.
• Chaque fois que tu vas t’enflammer, par le casque, je serrais avec toi.

• Oui.

Je viens de repartir, elle a tout entendu.

• Et toi, jouis-tu en roulant ?
• Le cuir de la combinaison atténue les contacts entre ma chatte et le siège, en été, je fais de la moto nue sur des petits chemins et je prends des décharges d’une telle intensité qu’une fois, j’ai failli tourner de l’œil et je me suis vautré lamentablement.
Je recommence quand même, j’adore cela, je t’emmènerais en Normandie et surtout dans les dunes et sur la plage sur la côte où je roule à fonds les manettes à la seule lumière de mon phare la nuit.

Avant d’arriver, ma vulve s’embrase deux fois dont une dans les rues de Paris et même a cinquante mètres de l’institut que nous longeons avant d’arriver devant un immeuble tout neuf en pierre de taille.
Livia stop la moto en attendant l’ouverture de la porte automatique du garage, nous descendons la rampe et elle vient se ranger à l’emplacement qui lui est réservé.

• Descends à l’inverse de comme tu es montée.

Je me lève et je passe ma jambe souplement et pose mes pieds au sol. Je tire sur ma jupe pour la remettre en place.
Livia a enlevé son casque et je peux admirer ses grands yeux bleus, elle est près de moi, j’en profite pour lui entourer la taille et lui donner un baiser sur sa bouche pulpeuse.
Comme un homme le ferait, elle passe sa main sous ma jupe et elle introduit plusieurs doigts dans ma chatte, elle les fait rentrer et sortir avec une douceur que seule une femme peut donner à une autre femme, elle retire sa main et suce ses doigts.

• Tu as bon goût. Je vais aimer te donner du plaisir.
Viens, je vais te faire découvrir mon domaine.

Nous récupérons l’ascenseur et elle nous emmène au dixième et dernier étage.
Elle me fait rentrer et je découvre un appartement de rêves, outre l’ameublement entièrement dans un goût montrant que Livia est une femme et qu’elle le revendique, déjà dans les tons tirant sur le rose bien sûr.

Ce qui m’interpelle, c’est la terrasse qui domine la plupart des toits de Paris avec une vue d’un côté sur la tour Effel et de l’autre une vue sur la basilique du Sacré-Cœur.
Dans un coin, sous une verrière le protégeant un Jacuzzi est en service l’eau bouillonnante.

• Christine vient, je vais te déshabille, Valérie m’a demandé de venir te chercher, elle m’a ajouté de te faire faire de la moto comme je le fais régulièrement avec elle, chaque fois qu’elle est pressée.
Je savais que tu étais sans petite culotte et que tu tacherais ma selle, aussi, j’ai démarré notre bain pour que nous nous rafraîchissions.

En m’enlevant mes affaires, elle en profite pour me caresser partout où elle le peut.
Avant même notre bain, la seule vision de cette jolie femme me fait mouiller.
Suis-je devenue une lesbienne invétérée courant après les sexes féminins que je rencontre depuis quelques jours ?
Des chattes, mais des chattes magnifiques comme celle de la propriétaire des lieux qui enlève sa combinaison et qui m’apparaît dans toute la beauté de sa nudité.
Ce qui me saute aux yeux, pour ce petit bout de femmes d’un mètre soixante c’est sa musculature saillante impeccable pour une jeune femme de plus de 30 ans.
Pas un poil de graisse, des fesses qu’elle me montre en enjambant le Jacuzzi.

• Vite, viens me rejoindre l’eau est à la bonne température.

J’enjambe comme elle vient de le faire et je perds l’équilibre me vautrant complètement sur elle.

• J’ai eu des attaques violentes de certaines de mes maîtresses, mais c’est bien la première fois qu’une future m’attaque si rapidement.

Disant cela, elle m’aide à sortir la tête de l’eau ayant complètement bue la tasse.

• Allo les collèges pompiers, j’ai une noyée dans mon bain, vous pouvez venir la réanimer.

J’éructe, je crache l’eau que j’ai bue soutenue par un bras qui repose sur mon sein, la bouche de Livia rejoint la mienne mais pas pour me faire recracher l’eau avalée, mais pour me donner un baiser passionné.

Ce retour sur Paris ayant abandonné ma bande de queutards qui s’en sont donné à cœur joie pendant un mois dans ma maison que Fabienne comparait à un lupanar le jour de son arrivée et qui est devenue la reine de ce dernier ce fait sous les meilleurs auspices.
Dommage que Valérie m’ait caché sa copine motarde, nul doute que je l’aurais invité à venir avec nous et qu’il y a longtemps que ma main serait comme maintenant en train de lui caresser l’intérieur de ses cuisses.
Elle s’occupe doucement des miennes me montrant toute la science qu’elle semble avoir pour les rapports de fille à fille, elle continue, à vouloir me faire sortir l’eau avalée lors de ma chute alors qu’il y a belle lurette que je suis sauvé.
J’aime la douceur de sa main légère comme une plume, mais qui sait insister sur le petit endroit que nous les femmes aimons prendre dans notre bouche pour le caresser voire le mordiller sans jamais lui faire du mal.
Je suis debout devant elle quand elle réussit à l’atteindre m’obligeant à plier les jambes sous le frisson qui s’empare de ma colonne vertébrale malgré la chaleur et de l’eau et de cette fin du mois d’août.
Il nous en faut plus, nous sortons du Jacuzzi et nous roulons sur le gazon de la terrasse.
Pas un terrain de foot mais 10 mètres carrés qu’elle doit arroser tous les jours avec le tuyau visible le long du mur.
Ce que j’aime chez Livia, c’est sa toison d’un blond cendré qu’elle a gardé contrairement à nous qui sommes en train de nous faire épiler au laser.
C’est dans la classique position 69 que je la suce récoltant tous les miels et les gouttes d’eau légèrement chlorées du bain que nous avons laissé sur notre peau pressée que nous étions de connaître nos intimités avec notre bouche.
Nos jouissances sont simultanées et après que je me suis retourné pour venir à sa hauteur corps contre corps, chatte contre chatte, jambes très musclées et jambes classiques emmêlées, je peux lui demander de me raconter pourquoi tout à l’heure en me sortant de l’eau, elle a évoqué ses collègues pompiers ?...

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